04 janvier 2011

Traces

 

traces

  De lui il ne restait que son petit banc de méditation. Du reste il ne restait pas grand chose non plus, tout semblait s’effacer doucement. Les murs du temple avaient perdus toute consistance. La réalité elle-même paraissait prête à s’éteindre.

  Je repensais  aux paroles du vieillard : “ En dehors de l’esprit il n’est rien, nous sommes l’intérieur et l’extérieur. Toi même en dehors de mon rêve est-tu réel ? “                    

   Prudemment je me suis retiré de cet espace en déliquescence en espérant de toute la force de mon âme être plus que le rêve d’un vieux moine.

 

 

 

 

1 commentaire:

abalem a dit…

J'aime bien lire ce qu'il y a ici...
La lumière existe-t-elle s'il n'y a personne pour la voir ?